Prototype 2, l'intro !

 En 2009 sortait un certain Prototype. Défouloir violent et sanguinaire, le titre avait alors su nous séduire, notamment grâce à son monde ouvert et le sentiment de toute puissance procuré. Quelques défauts majeurs étaient toutefois de la partie et on espère que le second opus qui nous parvient aujourd'hui saura parfaire le tableau.

Si par malheur vous avez manqué Prototype premier du nom, ne vous inquiétez pas, ce second épisode comprend une vidéo qui vous familiarisera avec le contexte du jeu. Pour faire simple, un virus terrible (conçu afin de devenir une arme biologique) a été lâché sur New York transformant les êtres humains en véritables monstres. Cela vous aura permis de suivre les pérégrinations d'un certain Alex Mercer, infecté en quête de vérités et disposant de pouvoirs extraordinaires. N'en déplaise aux fans, Prototype 2 mettra quant à lui en scène un nouveau héros : James Heller. De retour chez lui après avoir servi en Irak, celui-ci apprend que sa famille a été éliminée par le virus et décide donc d'éliminer celui qu'il tient pour responsable, à savoir Mercer. Cependant, cette tentative désespérée conduira à la contamination d'Heller qui deviendra ainsi le nouveau prototype.

 

Si le héros change, la sensation de toute puissance est, elle, toujours présente.

Affublé de vos nouveaux pouvoirs, vous vous lancez alors à la poursuite de Mercer en éliminant au passage les agents de Gentek, le laboratoire à l'origine du virus, et du Blackwatch, la force armée chargée d'endiguer l'épidémie. On note que tout a été mis en place afin de limiter la répétitivité qui gangrenait le premier opus. Les missions sont ainsi plus variées et peuvent aller de la traque à l'infiltration en passant par la filature (d'une personne ou même d'un hélicoptère). Bref, on ne s'ennuie pas, bien que l'on puisse regretter le fait que l'action finisse par prendre le pas sur le scénario. En effet, ce dernier paraît quelque peu cliché et les rebondissements sont souvent prévisibles. Au final, l'histoire contée se montre rapidement anecdotique et seuls les traits d'humour de James et la bonne qualité des doublages parviendront à nous maintenir immergés pendant les 12 heures que nécessite le jeu si vous décidez de le faire en ligne droite.

Attendez-vous à des effusions de sang.

Au niveau du gameplay, Prototype 2 se montrera aussi jouissif que son prédécesseur. On prendra ainsi un plaisir incommensurable à explorer New York, à grimper sur les gratte-ciel, à bondir dans tous les sens, à voler et à déchiqueter tout ce qui bouge. Pour cela, vous pourrez une nouvelle fois compter sur des pouvoirs dévastateurs, comme les griffes, les masses, la lame ou bien le fouet auxquels viennent s'ajouter quelques petits nouveaux dont les tentacules et les bombes. On notera également l'apparition de nouveaux finish moves et d'un cataclysme extrêmement puissant qui emprisonnera votre ennemi dans un maillage de tentacules avant d'attirer violemment tous les objets environnants sur cette malheureuse victime. Au rayon des nouveautés, on appréciera aussi la possibilité d'invoquer divers infectés afin de réduire en charpie la cible de son choix. Au final, les ajouts sont peu nombreux, mais plutôt plaisants à l'usage.

Quelques nouveautés sympathiques sont de la partie.

Les fans du premier opus risquent d'être surpris quant à la physique d'Heller. En effet, celui-ci paraît plus lourd et costaud que son prédécesseur et sera par conséquent plus lent. Ce choix délibéré n'est pas anodin et répond directement aux critiques formulées quant à l'aspect brouillon de l'action. On gagne ainsi en lisibilité ce que l'on pourra perdre en fun. Il n'y a toutefois pas de quoi s'insurger puisqu'un système de progression poussé est une nouvelle fois de la partie. Ainsi, chaque changement de niveau vous accordera des points que vous pourrez utiliser afin d'améliorer vos caractéristiques et notamment votre vitesse. Vous pourrez également compter sur des mutations génétiques qui sont pour leur part obtenues en réalisant les quêtes annexes, également nommées missions Blacknet. Notons que celles-ci se montreront rapidement répétitives et pas forcément palpitantes, mais pourront décupler voter puissance, ce qui est toujours appréciable.

Sans être laid, Prototype 2 n'est pas au niveau des productions actuelles.

Visuellement parlant, Prototype 2 se montre nettement plus beau que son aîné en proposant une ville de New York détaillée et relativement variée. On observera toutefois une bonne quantité de tearing et d'aliasing quand la distance d'affichage paraîtra relativement réduite. Ainsi, grimper sur l'Empire State Building sera synonyme de disparition d'une bonne partie du décor sous un voile blanc peu esthétique. Au final, le titre s'avère nettement en deçà des grosses productions actuelles sur ce point et ne sera par conséquent, pas exempt de défauts. On ne pourra ainsi que déplorer la scission de l'aire de jeu en trois zones plus ou moins cloisonnées, ce qui induira une certaine linéarité. De même, l'exploration semble plutôt limitée (seules quelques boîtes noires, antres et unités spéciales sont cachés dans chaque zone) et la difficulté se montre une nouvelle fois très aléatoire et inégale. Bref, malgré quelques nouveautés sympathiques, Prototype 2 ne parvient pas à gommer tous les défauts de son prédécesseur. Néanmoins, la recette fonctionne toujours et le titre devrait sans peine séduire fans comme néophytes

Lego Seigneur des anneaux

Les sorties de jeux Lego sont toujours aussi rapprochées, mais ce n'est pas pour autant que la qualité n'est pas au rendez-vous. La preuve avec ce très attendu Lego Le Seigneur des Anneaux, qui parvient à faire évoluer la formule tout en nous offrant un monde vaste respectant l'oeuvre originale.

Batman, Harry Potter, Star Wars, Indiana Jones... nombreuses sont les licences de ce genre à avoir été exploitées par la firme Lego, souvent pour le plus grand plaisir des joueurs. Ce sont maintenant les trois films de Peter Jackson, eux-mêmes tirés des célèbres romans de Tolkien, qui sont adaptés. Le timing est d'ailleurs parfait puisque nous sommes, faut-il le rappeler, à moins d'un mois de la sortie du Hobbit, nouveau film du même réalisateur, relatant la jeunesse de Bilbon Sacquet. Mais ici, ce sont bien les aventures de Frodon, Sam, Aragorn, Legolas, Gandalf et les autres en Terre du Milieu qui nous sont relatées, les développeurs ayant d'ailleurs scrupuleusement suivi la trame narrative de La Communauté de l'Anneau, Les Deux Tours et Le Retour du Roi. La cinématique d'introduction reprend par exemple les mêmes plans que celle du premier film, avec la charmante voix française de l'elfe Galadriel pour nous bercer. Tout au long du jeu, on retrouve quelques doubleurs français ayant également prêté leur voix aux mêmes personnages, dans les films. Car, pour la seconde fois de la série, nos personnages faits de cubes sont bel et bien dotés de voix, ce qui aide évidemment à la compréhension du scénario. A ce sujet, l'humour propre à la série de jeux Lego est toujours présent, mais en touches plus légères (un objet incongru, l'expression drôle d'un personnage), sans doute à cause de ce scénario déjà établi et très dramatique. Le mélange peut d'ailleurs parfois sembler un peu maladroit. Exemple : lors de la mort de Boromir, Aragorn lui assène à peu près le même discours épique que dans le film, sauf que dans le cas présent, le fils du Gondor a une banane plantée en plein cœur, au lieu d'une vraie flèche ! Le mélange est donc un peu spécial, mais le joueur s'y fait heureusement très vite.

Le système d'inventaire permet d'éviter les allers-retours lors de certaines énigmes.

A part son univers particulièrement riche, l'autre point fort de ce Lego Le Seigneur des Anneaux est son monde ouvert donnant justement l'impression de se promener à volonté en Terre du Milieu. On commence logiquement l'aventure à Hobbitebourg, avant de se diriger vers Bree, pour retrouver Gandalf à l'auberge du Poney Fringant. Notre progression est très linéaire, et la quête principale est balisée puisqu'il suffit de suivre ces fameuses briques transparentes pour la retrouver. Néanmoins, les lieux traversés sont assez vastes, et comme toujours remplis de diverses structures à casser ou à manipuler pour obtenir des bonus, donc des points supplémentaires. On retrouve ainsi la structure classique d'un jeu Lego, avec cette complémentarité des nombreux personnages à débloquer, ayant tous une particularité, des armes propres, ou des compétences. Sam peut faire un feu, Legolas se sert d'un arc, Frodon devient invisible grâce à l'anneau, Aragorn peut suivre des pistes... On change de personnage à volonté grâce à une roue, et il n'est pas rare de pouvoir choisir entre une petite dizaine de héros, tous présents à l'écran. De plus, autre nouveauté, chacun de ces personnages dispose maintenant d'un véritable inventaire (une autre roue interactive) dans lequel on peut stocker les objets préalablement ramassés et pris en main. Cela évite notamment de faire des allers-retours dans ces décors plus vastes, comme c'était le cas lors des précédents volets qui nous confrontaient également à quelques énigmes du même genre, à base d'objets à trouver, puis à utiliser dans d'autres mécanismes. Cela rend donc le jeu encore un peu plus plaisant, et la progression plus fluide. Les arrières-plans donnent de la profondeur aux décors.

D'autre part, on retrouve des PNJ qui nous donnent des quêtes facultatives nous demandant souvent de récupérer des objets, ou d'en créer à la forge. Un système de crafting sympathique a aussi été mis en place. On pourra maintenant récupérer des objets dans les décors pour créer un autre item dont on a besoin à un moment précis de l'aventure. Mais ces objets pourront ensuite être réutilisés par n'importe quel personnage grâce à un coffre se remplissant automatiquement d'équipements originaux, d'armes, de potions ou d'objets permettant de débloquer certaines situations. D'autre part, les briques en or ont été transformées en briques en mithril, qui peuvent aussi être fondues à la forge pour créer des objets rares, une fois que vous aurez récupéré les plans. Sur sa route, le joueur trouvera des Pierre-à-la-carte, sortes de statues permettant de remplir une carte du lieu de diverses indications (brique à récupérer, quête secondaire, départ d'une mission), et donnant surtout la possibilité de se téléporter vers un point déjà connu de la Terre du Milieu. D'autre part, grâce à cette carte accessible à tout moment, on pourra refaire les missions en mode libre ou en mode scénario, et choisir n'importe quel point de destination, vers lequel on sera ensuite guidé grâce aux briques transparentes apparaissant sur le terrain de jeu. Pratique pour ne pas se perdre dans ces environnements parfois un peu vastes. Ce Lego Le Seigneur des Anneaux donne donc la possibilité de découvrir ou redécouvrir les films en revivant leurs scènes principales en version Lego, et ce de fort belle manière. En effet, si l'humour semble parfois être un peu maladroit, sans doute à cause des dimensions épiques et dramatiques de cette histoire déjà connue, on aura quand même beaucoup de plaisir à parcourir ces territoires en compagnie de nos héros aux destins croisés.

Source:

http://www.jeuxvideo.com/etajvbisbe_hitman.htm

DudeGaming, des vidéos d'un nouveau genre ?

Voilà, c'est fait, DudeGaming à enfin une chaîne YouTube ! Pourquoi j'en parle comme ça ? Et bien tout simplement parce-que c'est moi qui écrit ce blog bande de ***** (humour à l'appel s'il vous plaît, je sors de blagues de me*** et j'ai besoin d'aide ! ) 

DudeGaming est une chaîne Youtube consacrée à divers zone de jeux, Tutoriels, Gameplay, Walktrought (pas encore mais ça arrivera surement), Playtrought etc,... sur divers "gamme", comme il le disent si bien, de vidéos tels que Dark Siders II, Dead Island, Portal II non pas sans oublier le célèbrisime Minecraft et d'autres encore ! Cette chaîne présentée pour le moment par Matthieu et Rémy, deux sympatoches et "nouveaux" Youtubers, qui nous mettent en alerte, nous font rire et nous expliquent ce qu'il faut savoir en règle générale sur les jeux qu'ils présentent (évidement)! Rémy, qui jouit d'une expérience de 1 ans de Youtuber est plutôt posé et précis dans c'est explications, sans oublier la touche d'humour (haaa les personne bizarres qui traversent la route dans Dead Island) et Matthieu, qui explique tout aussi vite (peut-être trop vite ? qui sait ?!) et avec l'humour dérisoire toujours au rendez-vous (on se souviendra du premier épisode de Dead Island; Attend, le mec est pas normal là !! il lui manque un organe, il lui manque un organe !! J'pense que c'est sa tête !) et puis, aussi, moi et un autre Youtuber (qui ne l'est pas encore) qui,  normalement,  porterai plus sur Star Craft II avec le Gamer (connu, bientôt, qui sait !) 

Sans vouloir tout précipiter, des épisodes possibles sur un support PS3 et Xbox 360, qui porteraient sur les jeux plus attractifs sur ces derniers support, jouissant de technologies plutôt poussée (sans omettre le PC, comprenez Personnal Computer) car, vous allez le découvrir, leurs vidéos portent sur ses fameux PC qui sont, sans les vanter, on ne peut plus puissant et ayant de plus en plus de capacités énormes et souvent, magnifiques! 

En regardant leurs vidéos, si vous les aimez bien-sûr, un petit commentaire ou le petit pousse vert, ça fait toujours plaisir (sans oublier de s'abonner, ils en ont besoin pour commencer) !

Le lien de leur Chaîne Youtube ici en dessous:

http://www.youtube.com/user/DudeGaming0?feature=watch

Gameplay Need For Speed Most Wanted

Voilà ce GamePlay ma fois plutôt pas mal, DiabloX9 nous attire vraiment par des explications simples, pas trop longues (avouez que trop d'info en un même moment est plutôt... hum hum, "chiant") et plutôt intéressantes du fait que, justement, qu'il nous explique les premiers "trucs et astuces" dans ce GamePlay exclusif !

Chaîne de DiabloX9:
http://www.youtube.com/user/diabl0x9?feature=results_main

Nintendo Wii U

Caractéristiques techniques:

-Processeur multicoeur IBM à 3GHz

-Puce graphique: AMD Radeon, 1Go de mémoir dédiée pour les jeux

-1GRam réservé au système

-Consomation de 75 Watts

-Taille: 43X172X268 [mm]

-4 ports USB et un lecteur carte SD

-Rétrocompatibilité avec les jeux Wii, Wii Ware et Virtual Console

-Compatible avec tous les accessoires Wii (Wiimote, nunchuk, Wii Balance Board,...)

-Wii U GamePad: écran 6,2 pouces (15 cm) pour une autonomie de +/- 6 heures

Modèle "Basique" à 299,00 €

Console blanche avec 8 Go de mémoire interne, un contrôleur GamePad, un adaptateur secteur, un adaptateur de racharge Wii U GamePad et un câble HDMI

Modèle "Premium" à 349,00 €

Console noire avec 32 Go de mémoire interne, le jeu Nintendo noté sur la boite offert (Nintendo Land, Zombi U,...), un Wii U GamePad, un adaptateur secteur et un adaptateur de recharge du Wii U GamePad et le câble de racharge, un socle de support de la console, une Sensor Bar d'accès au programme Nintendo Network Premium avec 10% de réduction sur les achats de jeux en ligne jusqu'à fin 2014.

Quelques voitures...

Bugatti Veyron Super Sport

La Bugatti Veyron ne suscitera jamais l'indifférence chez les passionnés d'automobile. Cette voiture est l'aboutissement d'un siècle de technologie, d'ingénierie, et d'histoire aussi : le modèle porte le nom du pilote français qui a remporté les 24 Heures du Mans en 1939 au volant d'une Bugatti.Avec un moteur W16 doté de quatre turbos si impressionnant que Zeus a sûrement conçu lui-même, la Bugatti Veyron n'a quasiment pas de rivales sur terre. Sa puissance colossale (1 001 chevaux !) et sa vitesse de pointe (plus de 400 km/h !) vous feront découvrir des sensations inconnues.Vous entendez ça ? C'est le son de la police qui bloque l'Interstate. Alors qu'attendez-vous ? Allez donc les provoquer pour qu'une poursuite de folie démarre entre vous et les flics de Fairhaven !

Chevrolet Camaro ZL1

Depuis maintenant un demi-siècle, la guerre des muscle cars fait rage. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la dernière « arme » ornée de la croix de Chevrolet incitera la concurrence à suivre la voie du désarmement. Sans être interdite par la Convention de Genève, elle sera une menace constante pour toutes ses concurrentes. À la manière de la première Camaro de 1966, la ligne agressive de la nouvelle ZL1 évoque la puissance. Et elle ne fait pas semblant : avec 580 chevaux, son monstrueux V8 de 6,2 litres développe environ 440 chevaux de plus que la Camaro originelle !Que ceux qui ont connu l'ancêtre se fient à leurs lunettes : la ZL1 abat bien le 0 à 100 km/h en moins de 4 secondes et sa vitesse de pointe tutoie la barre des 300 km/h. Dans Most Wanted, vous trouverez plus rapide ou plus résistant, mais la ZL1 est certainement l'un des meilleurs compromis des deux qualités. Elle est d'une rare polyvalence. Et dans le monde ouvert de Fairhaven, elle vous rendra bien des services : semer les flics en plaçant une vitesse de pointe sur l'Interstate ? Enchaîner les sauts et les raccourcis en centre-ville ? Arsouiller en hors-piste sur le site de la mine de charbon ou de la cimenterie ? Avec elle, c'est possible.

Chevrolet Corvette ZR1

Si peu de voitures incarnent autant l'Amérique que la Corvette, cette ZR1 a aussi très peu de rivales. Celle qui affiche sans doute le meilleur rapport qualité/prix du marché des sportives n'a pas lésiné sur la puissance. Là, vraiment, le compartiment moteur est plein à craquer. En développant pas moins de 647 chevaux, le moteur LS9 installe la Corvette dans une catégorie très exclusive où les marques européennes ont pour habitude de régner en maître. Du lourd, comme on dit. Chevrolet est allé loin dans la chasse aux kilos en dotant son modèle d'un toit en fibre de carbone. Si loin, même, qu'on culpabiliserait d'avoir repris deux fois des burritos avant de la piloter. Avec ses monstrueux disques de 38 cm à 6 pistons, la ZR1 sait piler net quand il le faut, par exemple pour surprendre vos amis ou la police de Most Wanted en pleine ligne droite, sur des autoroutes tortueuses, voire dans les ruelles étroites du centre-ville de Fairhaven.

McLaren MP4-12C

La MP4-12C a permis à McLaren de faire un retour fracassant dans l'univers des supercars. À l'arrêt, elle suinte la classe et la sophistication. Et puis le V8 de 3,8 litres et ses deux turbos s'éveillent. Grâce à toutes les technologies issues de la compétition dont elle dispose, et notamment une boîte parfaite (7 rapports), la MP4-12C jaillit très vite des starting blocks. Depuis l'arrêt, quiconque saura exploiter son potentiel atteindra 100 km/h en un peu plus de 3 secondes. Quand on la regarde, on remarque tout de suite la position particulière de l'échappement, qui ont d'ailleurs déjà craché pas mal de flammes sur des circuits du monde entier.Dans Most Wanted, son homogénéité en ville est appréciable, mais c'est son potentiel sur autoroute qui va vous scotcher. Dans tous les sens du terme.

Maserati GT Mc Stradale

La GranTurismo MC Stradale est le modèle le plus rapide et le plus puissant d'une gamme Maserati déjà riche en pur-sang. Un rêve pour tout pilote : look à l'italienne, luxe à bord et performances de compétition. Un V8 de 460 chevaux rend cette GT tout bonnement explosive, avec un 0 à 100 en 4,5 secondes et une vitesse de pointe en ligne droite de 303 kilomètres/heure. Malgré sa réputation parmi les fans de Most Wanted comme la plus agile des GT, la GranTurismo est assez massive pour se faire respecter quand les contacts se font plus rugueux.

Lamborghini Gallardo Spyder Performante

D'après nos amis de chez Lamborghini, "le pilotage de la Spyder Performante s'apparente à un voyage dans l'œil d'un cyclone". Vous avez aimé la Gallardo Valentino Balboni "fermée" de Hot Pursuit, vous allez adorer celle-ci. La Performante pèse 65 kilos de moins que la Gallardo Spyder grâce à l'emploi généreux de composites de carbone. Cela veut dire que le V10 vous fera profiter de sa superbe symphonie en vous collant plus que jamais au siège : le 0 à 100 km/h est expédié en moins de 4 secondes et la vitesse de pointe est supérieure à 320 km/h. Ces performances exceptionnelles font de ce modèle l'un de plus rapides de Most Wanted, et certainement pas le moins polyvalent grâce à sa transmission intégrale. Elle est loin d'être ridicule quand la route s'arrête.

Notes NFS

Capacité accidents/dégats: 16/20 

D'après ce que j'ai pus voir, les accidents ne sont pas terribles comparés à Burnout Paradise (http://www.ea.com/fr/burnout-paradise) mais quel avantage, que en pleine course, un accident à 100 km/h ne fasse juste que de vous arrêtez, imaginez, vous roulez à 100 km/h en plein virage, un borne centrale... vous ne la voyez pas et... BAM, accident, vous pouvez repartir tout de suite, n'est-ce pas clairement un avantage ? Et pour les dégats, c'est plutôt intéressant, ils sont bien répartis, les déformations vraiment pas mal... franchement, je suis pressé de l'avoir.

Graphisme: 17/20

La ville de Fairhaven a de la gueule, c’est clair  mais c'est surtout l'animation extérieure presque parfaite du jeu, même à pleine vitesse, qui m’impressionne. Et que dire des petites cinématiques qui précèdent les duels contre les Most Wanted ! Seul désavantage, le jeu ne propose pas de vue pilote.

Jouabilité: 15/20

Je n'ai pas le jeu, mais d'après ce que j'ai vus, le gameplay ne surprend pas, maintenant, grâce aux améliorations possibles des voitures, le gameplay augmente de plus belle. Et surprise, Criterion oblige, le mode Takedown existe bel et bien dans ce nouvel opus Most Wanted.